Rénovation d’une maison ancestrale : le confort dans la durée

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    Rénover une maison ancestrale, c’est rénover pour les générations futures. Des fondations au toit, pièce par pièce, l’histoire familiale retrouve un nouvel éclat, sans oublier d’adapter le plan au confort contemporain.

    Mais quand une maison devient-elle ancestrale ? C’est une maison ancienne bien sûr, mais il faut compter plusieurs générations d’enfants qui ont joué à cache-cache dans les placards pour que la demeure devienne ancestrale. Elle peut être une habitation d’intérêt patrimonial si elle compte plus de 50 ans d’âge, et présente une valeur historique par son architecture et son ancienneté ; sa date de construction est alors généralement antérieure à 1950.

    Cela est du moins l’acceptation de la maison ancestrale en France. Au Canada, l’expression « maison ancestrale » est bien plus courante et désigne toute maison ancienne, et le plus souvent construite en bois. Très recherchée, car rare, elle atteint généralement des prix de vente élevés.

    Le point commun entre les maisons ancestrales est cependant leur grand âge, qui incite à investir dans des rénovations régulières de ces maisons anciennes pour que de nouvelles générations puissent s’y sentir bien. Camif Habitat vous dit tout sur les priorités de ces rénovations.

    Rénover une maison ancestrale dans le respect de la tradition

    La maison ancestrale prend des formes diverses : du château au manoir, de la ferme à restaurer à la longère, du mas provençal à la maison d’architecte des années 30. Pour qu’elle garde son cachet, ses spécificités architecturales seront bien sûr respectées. Il se peut même que le lieu soit inscrit dans les différentes catégories de Monuments historiques : dans ce cas, l’intervention d’un architecte des Bâtiments de France est bien sûr obligatoire.

    Au vu des exemples précédents, la maison ancestrale peut avoir été construite en pierre de taille, en brique, en torchis et bois, en béton… Souvent, il faudra la débarrasser des crépis anciens pour révéler une pierre blonde, des briques rosées, des détails peints ou sculptés précédemment recouverts.

    Dans tous les cas, il est fortement recommandé de faire appel à un maître d’œuvre professionnel pour mettre les éléments les plus remarquables en valeur, tout en apportant quelques touches modernes. Il assurera le suivi de chantier en votre nom, ce qui est un atout indéniable dans la réussite de votre projet !

     

    Les principales étapes de la rénovation d’une maison ancestrale

    Dans une maison ancestrale, l’extérieur se révèle souvent solide, ce qui explique la longue histoire de l’habitation. En revanche, les autres éléments à rénover nécessitent une exploration :

    • Le toit ne résiste pas toujours aux intempéries et au passage du temps. Tuiles cassées ou poreuses, gouttières percées, etc. causent des dégâts structurels pour toute la maison ancestrale. C’est souvent le poste de dépense le plus important.
    • La charpente demande également un examen minutieux, pour remplacer certaines poutres, repousser des invasions de termites ou d’autres nuisibles.
    • Les portes et fenêtres peuvent sauvegarder leurs cadres en bois, pour conserver l’authenticité de la demeure. Cela n’empêche pas d’opter pour du double vitrage à certains endroits.

     

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    Vient ensuite le second œuvre. Tout en respectant le style et l’âge de la maison, certains travaux apporteront une touche de modernité et surtout un confort bien mérité :

    • L’amélioration de l’isolation thermique et phonique,
    • La mise aux normes de l’électricité,
    • La modernisation de la plomberie,
    • Des équipements de chauffage performants.
    rénovation maison ancestrale

     

    rénovation maison ancestrale

    Le charme de la maison ancestrale, le confort du 21e siècle

    Quel que soit l’âge de la maison ancestrale, les besoins en confort ont bien évolué, en particulier dans les 30 dernières années. En plus d’une isolation et d’un chauffage performant, les habitants souhaitent des installations qui facilitent la vile commune. Quelles pièces rénover en premier ?

    • La cuisine
      Les familles se retrouvent avec plaisir autour d’une grande table du petit-déjeuner, dans un espace bien éclairé avec de l’électroménager contemporain. Ce sera plus agréable pour tous si cette pièce était aussi facile à ranger qu’à nettoyer. Refaire les peintures, s’assurer des installations électriques, changer les placards feront donc partie des priorités dans la cuisine. Éventuellement, pensez à abattre la cloison entre la cuisine et la salle à manger pour agrandir les tablées.
    • La salle de bains
      Longtemps, les familles se contentaient de salles d’eau minuscules ou de salles de bain en nombre insuffisant. Voici venu le moment de réfléchir aux possibilités d’extension des salles de bain existantes, quitte à agrandir la maison. Selon le plan des canalisations, même la création de toilettes supplémentaires ou le sacrifice d’une buanderie peuvent nettement améliorer le confort de tous.

    Combien coûte la rénovation de la maison ancestrale ?

    Le coût de la rénovation de la maison ancestrale dépend bien sûr de l’état et de la superficie de celle-ci.

    Comptez entre 800 et 3 200 € par mètre carré selon l’ampleur de votre projet de rénovation.

    • S’agit-il d’un simple rafraîchissement, c’est-à-dire de la dépose des papiers peints d’antan, d’une nouvelle couche de peinture ou même d’abattre une cloison ? Dans ce cas, la fourchette s’étale de 800 à 1 200 €/m².
    • Une rénovation complète va concerner l’intérieur et l’extérieur : un ravalement de façade, un changement de portes et/ou fenêtres, une mise aux normes électriques, etc. La facture montera alors, par mètre carré, à un prix situé aux alentours de 1500 à 2 500 €.
    • Une rénovation lourde va transformer l’habitation jusque dans ses structures : un nouveau toit, une nouvelle charpente, un remplacement d’un mur porteur, une mise aux normes non seulement de l’électricité, mais aussi de la plomberie, etc. Selon le nombre de travaux à entreprendre, la facture finale peut se monter à 3 200 € par mètre carré.

    Rénover une maison ancestrale : le temps de bien faire les choses

    Dès que le projet de rénovation est validé par toute la famille, un rétroplanning devient un outil utile. Pour l’établir, il faut tout d’abord prendre en compte le temps des démarches obligatoires. Elles vont varier en fonction de certains critères :

    • Le type de maison à rénover, et en particulier son âge et son matériau principal,
    • La localisation géographique: zone protégée ou non ?
    • La nécessité de rénover la façade, le toit ou tout autre élément visible de l’extérieur.

    Selon ces critères, il faudra faire une déclaration préalable de travaux ou une demande de permis de construire. Dans le cas des maisons ancestrales situées en zone protégée ou classées aux Monuments historiques, il faudra non seulement contacter sa mairie, mais également faire une déclaration préalable ou une demande de permis de construire auprès de la Drac, et consulter obligatoirement un architecte spécialisé dans le patrimoine.

    Votre projet bien en main grâce à Camif Habitat

    Vous souhaitez qu’un bon professionnel vous guide pour vos travaux de rénovation de maison ancestrale et qui vous informe sur les aides gouvernementales auxquelles vous pouvez prétendre ? Vous souhaitez pouvoir consulter un plan d’ensemble du projet de rénovation qui estime la durée des travaux, le budget, les démarches à accomplir ?

    Contactez dès aujourd’hui le professionnel Camif Habitat le plus proche de chez vous pour un premier rendez-vous.